Le projet de tram-train ...

... défendu depuis 2001 oscille entre mobilisation déterminée de la population et freins des personnes en charge des décisions.
 
Les blocages :

•  - Ils viennent surtout des élu·es difficiles à rencontrer, favorables au projet pendant les campagnes électorales puis dispersé·es dans de multiples instances (Région, départements du Rhône et de l’Isère, communautés de communes). Informations et argumentaires sont à reprendre à chaque nouvelle élection.
•  - Actuellement, la solution de liaison en Bus à Haut Niveau de Service (BHNS) est retenue. Parfer déplore qu’aujourd’hui, tout soit mis en place en faveur de la route, que les coûts de la solution ferrée soient surestimés et qu’il n’y ait pas de considération pour les usagers. Seuls sont pris en compte les arguments économiques biaisés.

•  - L’emprise du Chemin de Fer de l’Est de Lyon (CFEL) est préservée jusqu’à Crémieu.
•  - Les pétitions réclamant le tram-train en 2009 et 2014, ont récolté à chaque fois 11000 signatures, démontrant la volonté de le voir aboutir.
•  - Les derniers débats publics de Villeurbanne (nov 2017) et Pont-de-Chéruy (janv 2018) et la rencontre de lycéen·nes à Pont-de-Chéruy (mars 2018) confirment, par la mobilisation de tou·tes, la pertinence de cette liaison ferrée.
•  - Des exemples analogues qui ont réussi existent déjà.
•  - Enfin, ce projet est respectueux de l’environnement